la terre vue du ciel
À partir du printemps 2018, Valérie Daubé travaille ses formes géométriques en parcelles, à l’image des champs, des terres, des forêts que son esprit imagine depuis les hauteurs célestes : un atlas géographique de formes aux couleurs improbables, imbriquées les unes dans les autres, parfois fermées par une ligne de pointillés comme un bocage breton.
La couleur est traitée en aplats, les contours en légers effets floutés donnent l’impression d’une géométrie incertaine.
La peinture est parfois étalée en couches épaisses et donne un aspect brut, paradoxalement d’une grande délicatesse.